Le directeur provincial de l’agriculture et de la sylviculture de Sivas, Seyit Yıldız, a déclaré que pour savoir si les buffles et les bovins ont atteint l’âge de deux ans et sont entrés dans l’âge de trois ans, les dents permanentes doivent avoir remplacé les deux incisives de lait.
À l’approche de l’Aïd al-Adha, le directeur provincial de l’agriculture et de la sylviculture de Sivas, Seyit Yıldız, a donné des informations sur l’âge des animaux de sacrifice et la détermination de l’âge. Le directeur provincial Seyit Yıldız a souligné que l’âge de la victime à sacrifier est important lors du choix du sacrifice : « Pour être sacrifiés, les bovins et les buffles doivent avoir deux ans, les chameaux cinq ans, les chèvres et les moutons un an. Toutefois, chez les ovins, on considère qu’il suffit que les animaux âgés de plus de six mois soient aussi développés et grands que ceux âgés d’un an. Les registres d’exploitation, le développement des dents, l’évolution des cornes et les caractéristiques des adultes sont pris en compte pour déterminer l’âge des animaux. Les registres d’exploitation correctement tenus sont exacts. En l’absence de registres, la détermination de l’âge la plus précise est l’examen du développement des dents.
« Les chèvres doivent être âgées de plus d’un an pour être sacrifiées.
Yıldız indique que les chèvres doivent avoir plus d’un an pour être sacrifiées et précise : « Pour savoir si les buffles et les bovins ont atteint l’âge de deux ans et sont entrés dans l’âge de trois ans, les deux incisives de lait doivent être remplacées par des dents permanentes. On considère qu’un mouton peut être sacrifié s’il a plus de six mois et s’il a l’âge de sa mère ou d’un mouton adulte. Les chèvres doivent être âgées de plus d’un an pour être sacrifiées. La détermination de l’âge chez les chèvres, comme chez les bovins, est basée sur le fait que les dents de lait incisives de devant sortent et sont remplacées par des dents définitives ».
« L’animal à sacrifier doit être en bonne santé, complet et bien nourri.
Yıldız a déclaré qu’il était important que l’animal sacrifié soit en bonne santé et bien nourri, à la fois en termes de culte et de santé : « Il est important que l’animal sacrifié soit en bonne santé, complet et bien nourri, à la fois en termes de culte et de santé. Les animaux malades, faibles et affaiblis, aveugles d’un œil ou des deux yeux, avec une ou deux cornes cassées à la racine, avec la langue, la queue, les oreilles et la moitié des mamelles coupées, et avec toutes ou la plupart des dents manquantes, ne peuvent pas être sacrifiés. En revanche, le fait que l’animal soit né sans cornes, qu’il louche, qu’il boite, qu’il soit légèrement malade, qu’il ait un trou ou une déchirure dans une oreille ou qu’il lui manque une partie des mamelles ne l’empêche pas d’être sacrifié. Les animaux sains ont des caractéristiques distinctives ; chez les bovins gras, le corps est plein dans toutes les directions, la croupe est ronde, les épaules sont larges, les saillies du corps sont indistinctes, la peau est douce et élastique, le regard est vif, le poil est fin et brillant. En outre, il n’y a pas d’écoulement anormal des yeux, du nez, de la bouche, des mamelles et du dos, de boiterie des pattes et des pieds, de gonflement, de décoloration et de plaie sur la peau et les mamelles ».
